Devenez une princesse en portant ces adorables babouches aussi élégantes que confortables, soigneusement travaillé. Les joli motifs à l’extérieur rendent la babouches agréable à porter et à regarder, fait à la main, par des artisans très qualifiés, avec une attention aux détails exceptionnelle,100% cuir véritable et moderne, intérieur de cuir, pour que les chaussons rendent la marche très confortable, la femme se sent en portant cette pantoufle dans un confort complet, tous ceux qui l’ont essayé Il ne sera plus jamais abandonné Ces chaussons proviennent d’une usine de qualité avec un certificat national du Ministère de l’Artisanat.
Les babouches pour femmes font leur grand retour dans les garde-robes modernes, s’inscrivant dans une tendance alliant bien-être et style, et priorisant le confort avant tout.
Notre jolie babouche à bout pointue vient donc libérer vos pieds tout en apportant une touche de chic à vos tenues. Elle est fabriquée de manière artisanale à Fès –Maroc, dans le respect du savoir-faire traditionnel par des artisans qualifiés avec une attention aux détails exceptionnelle. Elle est confectionnée en cuir véritable, entièrement cousue à la main en double Fil et repose sur une semelle en cuir de bœuf résistant conçue pour amortir les chocs et afin d’avoir une marche beaucoup plus agréable.
A tenir en compte que ce produit est fabriqué dans la plus pure tradition de l’artisanat marocain et selon des critères de qualité très précis conformément au certificat de qualité et d’authenticité délivré à son maître artisan… Le sceau d’authenticité apposé sur son cuir confirme l’excellence de la qualité de sa fabrication. Portez donc une œuvre d’art sur vos pieds.
Histoire de la babouche :
Les babouches traditionnelles chaussent les bédouins et les rois depuis des siècles. Elles viennent de l’arabe « babush » ou « papush » en persan. Les bédouins les portent dans le désert équipés d’oreilles qui permettent de les attacher comme les chaussures classiques. Les sédentaires urbains, eux, l’adoptent dans sa version lâche, sans attache – celle qui a récemment fait son incursion dans le monde de la mode. Également appelée «belgha», elle resta longtemps l’unique chaussure d’intérieur des hommes comme des femmes, sans distinction de classe sociale.
Dès le 16ème siècle, les babouches ornent les pieds des nobles – femmes mais aussi hommes -, avides d’exotisme dans l’élan des grandes explorations. Elle se coquette, ornée de tissus colorés, de broderies élaborées et de perles précieuses. Sous sa forme « mule » orientalisée, elle se dresse sur un petit talon.
C’est à Marrakech et à Fès, épicentres du savoir-faire ancestral du tannage de cuir – que le Maroc a inventé, donnant son nom à la « maroquinerie » -, qu’on acquiert les spectaculaires babouches traditionnelles, souvenir depuis toujours convoité par les touristes. Elles sont, comme par le passé, confectionnées en cuir de chèvre ou de mouton, issues, pour les modèles haut de gamme, des prestigieuses tanneries de la Medina Boujloud de Fès.
Le confort de la babouche provient de son procédé de fabrication : elle est nettoyée et séchée à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’elle atteigne un niveau de confort optimal. On pourrait considérer au premier abord que cette chaussure traditionnelle est désuète, la babouche revient cependant à la mode ces dernières années dans le monde entier. Les babouches artisanales sont encore fabriquées aujourd’hui sur les marchés de Marrakech et de Fès, au Maroc, et restent une icône emblématique de l’artisanal du cuir au pays.
Les deux types de babouches.
Le costume traditionnel marocain est lié aux babouches : les arabes à bout pointu pour les citadins, les berbères bout carré ou rond pour les ruraux.
Celles des femmes sont de couleurs différentes. Les babouches sont un véritable accessoire de beauté pour les femmes (“Cherbil”). Les citadines le portent avec la djellaba ou lors des cérémonies. Le “Cherbil” peut être recouvert de velours et brodé de fil d’or, d’argent ou de soie ou brodé de motifs géométriques, ornés de “mozounes” (sequins) ou de fines perles.
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